À Mauriac, des éleveurs se forment aux bases de l’anglais pour vendre leurs animaux.
Face aux enjeux climatiques, territoriaux, de renouvellement des générations, le président de la chambre du Cantal fait valoir le rôle essentiel de cet échelon de proximité.
Pour faire face à une hausse continue de son activité, le SR 15, qui salarie déjà 134 agents, cherche des recrues.
Le Cif a brossé mardi soir, devant près de 300 producteurs, entreprises, élus, acteurs économiques et partenaires, le travail titanesque réalisé en dix ans et les chantiers à venir.
Parmi les outils numériques adaptés aux élevages laitiers et allaitants les plus utiles - et qui ont déjà des adeptes dans le Cantal - la détection assistée des chaleurs et celle des vêlages.
Saviez-vous que 18 000 agriculteurs font aujourd’hui appel aux images par satellite pour mieux surveiller leurs cultures et adapter les besoins en engrais et en eau, ou que des « digifermes » éclosent un peu partout en France pour surveiller les bêtes, alertant par exemple les éleveurs sur leur smartphone d’une mise bas imminente ? Comme l’explique cette vidéo proposée par Universcience.tv, l’heure est à l’agriculture connectée pour devenir plus écologique, plus rentable, rendre le travail moins pénible et peut-être recréer du lien dans un secteur de plus en plus délaissé.
Il a été décidé par le ministère de l’Agriculture la suppression du critère d’éligibilité à l’ICHN de détention de 3 unités gros bétail (UGB) minimum, durant la période hivernale. Comme la fin des déclarations Pac est reportée au 31 mai, il est encore possible de la modifier.
Fixée initialement au 15 mai, la date limite de télédéclaration via Telepac a été repoussée au 31 mai, a annoncé le ministère de l’Agriculture le 4 mai. Une décision rendue publique à peine quelques minutes après que la Commission européenne a fait part de son autorisation aux États membres de reporter la date, au plus tard au 15 juin. Plusieurs États, dont la France, ainsi que des organisations et coopératives agricoles européennes (Copa-Cogeca), avaient en effet demandé à la Commission d’accorder une dérogation, comme elle l’avait déjà fait en 2015 et 2016. Selon le ministère de l’Agriculture, au 4 mai, “le nombre de dossiers déposés via le logiciel Telepac” était “légèrement inférieur à celui constaté l’an passé”.
Deux cents chercheurs en provenance des cinq continents se réuniront dans le cadre de «l'International Wheat innovation workshop» (atelier international sur l'amélioration du blé) les 16 et 17 novembre à Clermont-Ferrand, indique le pôle de compétitivité Céréales Vallée. Ce rendez-vous est l'occasion de faire le point à mi-parcours sur les avancées du projet BreedWheat, lancé en 2011 pour une durée de neuf ans. Le projet a pour ambition de développer de nouvelles méthodes de sélection et d'utiliser des ressources génétiques inexploitées pour créer des variétés plus performantes en conditions de culture respectueuses de l'environnement et adaptées au changement climatique. Vingt-cinq essais ont été conduits en ciblant différents objectifs : adaptation des plantes à la sécheresse, à une réduction de la fertilisation azotée et à une attaque de maladies du feuillage et de l'épi. Jusque là, environ 700 000 données ont été «acquises, validées, formatées et stockées dans une base de données», ajoute le pôle.
L'Union des industries de la fertilisation (Unifa) a relevé le 20 juillet «peu d'évolution» des livraisons d'engrais minéraux en fin de campagne. «A fin mai, les livraisons d'engrais remontent un peu en azote et s'avèrent très proches de celles de la précédente campagne» à -1 %, selon une note. «Seul le phosphore perd 8 % en un an particulièrement dans les produits importés : phosphates d'ammoniaque DAP-MAP et superphosphate TSP (dans les engrais simples P).» L'Unifa précise que les livraisons d'engrais ont déjà démarré pour la prochaine campagne dans un «contexte encore incertain», avec notamment des cultures d'été qui pourraient être affectées en cas de sécheresse persistance.